« This is how we lose »Je suis le roi. Je suis le roi. Je suis le roi. Je. « JE SUIS LE ROI ! » Béhé' hurla bruyamment et a un plein poumon au milieu du grand carrefour vide, personne, pas un bruit a part son cris rétenticent, qui fit courir quelques chats égarés qui traverssèrent la route en trombe et en miaulant. Béhé' les yeux éberlués, se redressa en lançant un petit : « AH! » C'est vrai qu'il était roi. Roi de ce qu'il voulait. Sa queue en panache, relevé sur son arrière train, la tête haute et les yeux fermés, il se mit a trotiné a la manière d'un jeune faon faisant la cours a une femelle. Il se positionna a coter de son compagnon, Ramsès. Le loup Tchec' a l'air constamment fou. Il souleva doucement une paupiere, faisant glissé son corp tel une légère plume vers son amis, faisant un pas de dance gracieux, et il s'approcha de son oreille et chuchotta. « Je. Suis. Le. ROIIIIIIIIIIIIIII » Et il explosa de rire, imaginant l'oreille de son amis en sang.Il rigolait toujours quand il leva la patte pour se vidé sur un réverbaire.

Ramsès s'était assis. C'était son heure de répit, où rien ne pouvait le perturber. A une seule chose près, Béhémoth. Ce truc roux absolument horrible au sourire éternel. En plus de subir les chants constant du rouquin du type « Je. Suis. Le. ROIIIIIIIIIIIIIII », il subissait également les odeurs de déjections intimes de celui-ci.

Une chose que le loup ne pouvait pas supporter : les guilis. Mais si, vous savez, cet chose désagréable quand on vous titille l'oreille. Imaginez recevoir du souffle et plus de 100 décibels en 1 seconde faisant ainsi, saignez votre très chère tympan.
Une seule réaction est à votre disposition si cela vous arrive. Un coup dans les burnes. Quoique un petit peu trop violent. On favorisera la valse. Mais si, tu sais quand t'envoie ton camarade à l'autre bout de la ville avec un autographe sur le cul.
Ramsès répliqua en poussant Béhé sur le côté d'un coup de patte dont la signification était plus que claire : Dégage.
« Ouaip, le roi de l’urine dans le milieu des réverbères. Soit sympa, je me gratte le cul avec ce réverbère. » répondit-il lourdement, fatigué d'entendre les cris strident de la voix de l'akita inu toujours en cours de mue.

Béhémoth se pris un coup de patte sur l'arrière train qui destabilisa le mastodonte. Et son amis répliqua, quand le liquide chaud que Béhé était en train de versé sur le réverbère se déverssa sur sa patte a cause de la légère impultion de son compagnon. « Ouaip, le roi de l’urine dans le milieu des réverbères. Soit sympa, je me gratte le cul avec ce réverbère. » Le gros Akita n'écouta meme pas Ramsès. Il baissa juste sa tête entre ses deux pattes avant et observa le liquide dégouliné sur sa patte arrière droite. Il releva la tête éberlué, observant Ramsès avec un regard d'effroie. « Putain mec! Je me suis pissé dessus! » Il se tourna et leva la patte arrière juste devant le museau de Ramsès. « J'te jure! Regarde putain! » Il rebaissa sa patte et fit quelque pas plus loin. « Ca crains un max ! On dirait que j'ai 15 ans quoi! » Il se lécha la patte avant tranquilement en observant le carrefour. « Dit Ramsès tu penses quoi des autres ? Je veux dire des... » Il se retourna brusquement, brandissant sa patte sur sa tête, immitant un commandant de l'armé, les oreilles en arrière, l'air sévère. « MEUTES! » Et il explosa de rire.

Ramsès leva son antérieur droit et fit le signe du warrior. yeeeeeeees. Béhémoth s'était pissé dessus comme un enfant de 3 ans.
Il prit sa voix d'aristocrate bien que l'imitation fut ratée. « Dé-gueu-lasse. Absolument répugnant. » Le loup pourra en profité pour lui voler toutes ces conquêtes en racontant l’anecdote. Bien qu'il n'aura jamais aucune conquête de part de sa débilité profonde, surement génétique, mentale, cancer du cerveau, gogole. Excusez moi, c'est partit tout seul, vous savez quand vous pensez quelque chose de quelqu'un il faut être franc et laissez parler les premiers mots et adjectifs qui vous viennent à l'idée.

« Dit Ramsès tu penses quoi des autres ? Je veux dire des... » Le rouquin parla mais ne finit point sa phrase. Le tchéque fronça des sourcils avant de remarquer que Béhémoth se retournait brusquement, brandissant sa patte sur sa tête, imitant un commandant de l'armé, les oreilles en arrière, l'air sévère. « MEUTES! » Le loup fit un mouvement en arrière avec sa nuque, dans une totale incompréhension il regarda a gauche et à droite pour vérifier que personne n'avait vue cet affreux spectacle. Mon dieu. pensa t-il.  « Ah tu parles des connards. N'appellent plus ça des meutes. Maintenant ça sera des connards. » Il marqua un temps de pause tout en relookant de haut en bas l'akita. « Ils sont juste tous faibles alors ils se mettent par groupe. Mais, la vérité c'est que.... » Il s'assit et leva ses deux patte avant, imitant le gorille en tapant contre son torse, faisant ainsi un clin d’œil à l'attitude que venait d'avoir son compagnon. « c'est la loi de la jungle maggle. Le plus fort survie. » Il se ré-assit et sourit.

Après avoir rigolé, Béhé fit mine de s'essuyé une larme de rire. Ramsès lança d'une voix sourde. « Ah tu parles des connards. N'appellent plus ça des meutes. Maintenant ça sera des connards. » Il observa Béhé avec un tel dédain, que celui ci ne put s'empeché de fermer la gueule. « Ils sont juste tous faibles alors ils se mettent par groupe. Mais, la vérité c'est que.... » Le grand chien loup fit mine de faire le beau sur ses deux pattes arrières, et tappa avec ses pattes avant sur son torse, immitant un grand singe comme Béhé avait vue dans les films des enfants. « c'est la loi de la jungle. Le plus fort survie. » Béhé éclata de rire a la manière d'une hyène dépourvue de toute matière grise. Il se mit a s'étranglé et a tousser la tête vers le sol les yeux exorbité. Après sa petite tout, il releva la tête observant le lointain. Sa voix devenue plus sèrieuse a présent, il lança. « Faut qu'on les trouves Ramsès. J'en ai marre de chassé. Eux ils ont de la nourriture. On volera les connards. » Puis il lança un regard a son coinjoins, observant la grande église qui se trouvait loin derrière lui, plus loin derrière. Qu'elle beau paysage. Il connaissait Time square, le parc a coter de l'église, sa jeune maitresse y aller souvent avant. C'était une rue ou les humains lui manquait le plus. Il y avait un marchand de glace ici avant, il y avait aussi un joueur de flutte. Mais ca c'était avant.

Après avoir fait le pitre, le loup se retourna dans la même direction que son camarade, celle de l'église. La nostalgie d'un monde gargouillant d'humain leur revinrent à tous les deux. « Faut qu'on les trouves Ramsès. J'en ai marre de chassé. Eux ils ont de la nourriture. On volera les connards. » Dit l'akita, étrangement sérieusement. A vrai dire, Ramsès y avait déjà pensé mais appréhendez trop la réaction de la meute si celui-ci se faisait malencontreusement prendre la main dans le sac. Mais maintenant, ils étaient deux. Il réfléchissa une seconde et tourna sa tête vers Béhémoth en lui caressant la tête frénétiquement. « Tu sais que t'es un génie ? » lâcha t-il, l'estomac déjà remplis. « En route ! » s'exclama le chien loup, déjà avide de popularité. Il s'imaginait les ragots que pourrait circuler à propos d'eux "On dit que deux voyous s'emparent de la nourriture... mais sont comme... invisible."

⌂ Après ta réponse on change d'endroit, on se rapproche d'une meute, oki? ⌂