NOM : Anathos
SEXE : Mâle
ÂGE : 3 ans
RACE : Beauceron
PHYSIQUE : Anathos est un puissant chien noir et feu. Très musclé et grand, il à des prunelles ambrés. Il possède un poil ras mais très épais, ce qui le protège des ronces et de tout le reste. Ses oreilles sont dressées et sa queue portée basse.
AUTRE ? :

MEUTE : Fierce
RANG : Membre


CARACTÈRE :
Anathos n'aime pas spécialement se battre, et est très loin d'être un chien sanguinaire, étant plutôt un guerrier calme et réfléchi.
Étant un des guerriers les plus expérimentés de la meute,  Anathos n'a pourtant jamais souhaité devenir chef et s'occupe beaucoup des jeunes novices ainsi que des anciens ; qualités qui lui valent d'être respecté et admiré de tous, même des chiens des autres meutes. Il est extrêmement loyal et fidèle à sa meute. Il n'est pas violent mais ne se laisse pas faire pour autant. Si vous vous attaquez à lui, il ripostera soyez en sûrs. Il fera tout pour défendre sa meute et les territoires qui sont les siens. Il est très responsable, si il fait une bêtise il en assumera les conséquences, quelles qu'elles soient.


HISTOIRE :

Quant je suis né, tout allait très bien. Ma mère s'occupait de moi et de ma fratrie et on s’entendait tous très bien.

A mes trois mois environ, un jeune couple craqua sur moi plutôt que sur mes cinq autres frères et sœurs. Ils me nommèrent Anathos puis je fut emmener dans leur appartement. J'avais pourtant été habitué dans une ferme, où je pouvais courir partout. Mais dans l'appartement l'espace était restreint. Mes maîtres me sortais alors tous les jours pendant plusieurs heures où je pouvais me défouler. En grandissant, je vis apparaitre un tout jeune humain, mon nouveau petit maître. Je l'aimais et le protégeais d'un quelconque danger. Je me souvint même qu'une fois dans un parc, mes maîtres était partis discuter avec des amis et j'étais rester avec le petit. Un chien avais surgis, voulant s'attaquer à mon tout jeune maître et je l'avais défendu. Mes maîtres qui était arriver s'était dépêcher mais n'étais pas arriver a temps et m'avais donc féliciter et ils m'aimèrent encore plus.

Puis un jour, on partit de l'appartement, et on alla dans une grande maison avec d'immense champs et un grand jardin ! J'avais un an et demi et avais plus besoin de me défouler, c’était donc parfais. Mon petit maitre, lui avais presque le même âge et il me regardais en rigolant, j'aimais le faire rire puis il me lançais la balle quelques fois. Il m'aimais !

Moi, je grandissais, j'étais toujours aussi beau et costeaud, je défendais de plus en plus ma maison mais je devenais moins mignon. Puis un jour, des gens sont arrivés avec un chiot labrador tout mignon. Je croyais qu'il allais partir mais il est rester et mes maîtres n'en avais que pour lui. A cause de mon manque d'attention, j'aboyais sans cesse et mes maîtres m'enfermèrent dans le garage, tandis que je les entendais jouer avec le nouveau venu. J'étais presque dans le noir et je n'étais nourrit qu'une fois par jour, le soir. Parfois ils oubliais même. Puis un jour on est tous monter dans la voiture, j'étais heureux de pouvoir revoir enfin mon petit maître ! Puis ils se sont arrêter. Ma maîtresse avais ouvert la portière et étais sortie avec moi. Elle m'avais lancer mon joué préféré, je lui ai donc couru après. Quant je me suis retourner pour rapporter, la voiture étais partie. Mon petit maître me regardais et pleurais. Je m'élançais donc à la poursuite de la voiture mais en vain. J'ai alors erré pendant plusieurs jours et j'ai finalement retrouver ma maison. Il m’ont fait entrer et ne m’ont même pas nourrit. Je fut de nouveau enfermer au garage, attacher avec une chaine cette fois et mon maitre se défoulais sur moi. J'étais frapper et en mauvais état. Quant je ne pouvais plus rien faire, il retourna au même endroit et me déposa dans le bois, assez loin de la route. J'étais cette fois trop faible pour courir derrière la voiture, alors, j'ai marcher et marcher, j'ai repris des forces et décidais une nouvelle fois de rentrer à la maison.

J'y suis finalement arriver, malgré les dangers mais voyant mes maîtres jouer et câliner l'autre chien, j'ai compris que plus jamais ils ne voudrais de moi. Je suis alors rentrer en douce dans la maison et j'ai trouver le seul maître qui m'aimais. Il était en un enclos en bois appelé "parc", je suis rentrer dedans et je lui ai fait une léchouille d'adieu puis je suis partit en détalent. Je suis retourner au bois où mes maîtres m'avait laisser et j'ai trouver une famille, de chien cette fois qui mon accueillis en tant que membre à part entière. Depuis, j'y suis heureux et évite de repenser au passé.